LA LOI SÉCURITÉ GLOBALE POUR PROTÉGER QUI ?
La loi qui empêche de diffuser les images des policiers en intervention, va-t-elle permettre flouter les agressions volontaires et les tentatives de meurtres des représentants des forces de l’ordre ?
Que se soit Michel Zecler, Kéziah Nuissier,George Flyod, Judes Pastel … Tous ont été violemment attaqués par les gardiens des services de répressions.
Cette violence gratuite et institutionnelle que dénonçait la vidéo du 16 MAI 2020 réalisée par Christiant le GJ et diffusée sur Youtube intitulée « NON RESPECT DE L’UNIFORME » alertait déjà l’opinion publique y compris quelques représentants du service d’ordre public sur les pratiques douteuses de certains agents des forces de l’ordre.
Le Tribunal de Fort-de-France a condamnée l’auteur de cette vidéo qui pourtant montrait clairement des dysfonctionnements et qui pointait du doigt des comportements inadaptés et agressifs qui parfois pouvaient causés la mort comme çà a été le cas de Georges FLYOD assassiné le 25 Mai 2020 quelques jours après la diffusion de cette vidéo.



Le 27 Aout 2020 ce sont des gardes mobiles qui s’acharnent sur Kéziah devant le des gardiens de la paix qui normalement devaient protéger le jeune homme frappé violemment au sol devant commissariat de police de Fort-de-France.
Ils ont été qui poursuivis pour tentative de meurtre.








Quelques mois plus tard c’est autour de Judes Pastel qui le 3 Septembre 2020 reçoit des coups de fusil dans le dos tirés par une femme gendarme, alors qu’il poursuivait un couple qui venait de caillasser sa voiture et tabasser sa belle-mère.
La jambe paralysée, l’appareil génital en lambeaux depuis ce drame, Judes Pastel dénonce un usage abusif de l’arme à feu par le gendarme.
Le 21 Novembre 2020 c’est au tour de Michel Zecler d’être attaqué violemment par des policiers à l’intérieur de son studio d’enregistrement.
Les images de la vidéo de l’agression subi par L’homme de 41 ans sont extrêmement choquantes et ont provoquées de vives réactions des internautes sur les réseaux sociaux. Une scène de violences policières complètement inouïe et édifiante.
Malgré le fait qu’il soit la victime, Michel Zecler avait été placé en garde à vue dans le cadre d’une enquête ouverte par le parquet de Paris pour «violences sur personne dépositaire de l’autorité publique» et «rébellion». Mais le parquet de Paris a classé cette enquête et ouvert mardi une nouvelle procédure pour «violences par personnes dépositaires de l’autorité publique» et «faux en écriture publique», confiée à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), la police des polices.





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