Lors de son déplacement aux Antilles en septembre 2018, Emmanuel Macron avait reconnu la responsabilité de l’État dans le « Scandale du Chlordécone » qu’il a qualifié de « Scandale environnemental » et a promis que l’État prendrait sa part de responsabilité dans les réparations. Mais le 20 Janvier 2021, les parties civiles qui avaient déposé des plaintes pénales il y a 14 ans ont été informé que des preuves avaient notamment disparu du dossier de l’empoisonnement au chlordécone.
EN MARTINIQUE, EN GUADELOUPE ET À PARIS PLUSIEURS HUMAINS SE SONT RASSEMBLÉ POUR DIRE NON À LA PRESCRIPTION ET À LA DÉCISION D’UN NON LIEU.















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